Troisième volet du $$Cercle des douze mois$$. Ce livre est un voyage au sein du monde implacable de la diplomatie parallèle. Au mois d'août, la première femme présidente du Cercle des douze mois, conseiller écouté à l'Elysée, a été nommée par le Président de la République à la tête des Services secrets français. J.-F. Deniau raconte les missions très spéciales qu'elle confie aux membres du Cercle.

Dans les années 60, les aventures fantasques du narrateur, un enfant de neuf ans, accompagné de son copain Bonbec. Il voudrait bien faire comme son père : être un grand amoureux, offrir des fleurs, dire des poèmes ou à défaut, surveiller Bonbec embrassant sa poule. Il connaît des coups de foudre tour à tour drôles, pathétiques ou émouvants : une jeune fille malade, l'ange de Noël, la fière Saïda.

Une série d'hallucinations jette le narrateur dans le Paris de 1953, quand il avait 7 ans. Largué dans son propre passé où il se sent étranger, il se résoud à accepter son sort et tente de profiter d'une supériorité, celle de connaître par avance les événements, mais il se rend compte que son savoir ne lui sert à rien. Tout bascule le jour où il se croise lui-même...

Garrett enquête sur l'enlèvement de Karl, le fils de la redoutable maître-tempête Styx Orage, toujours épaulé par l'elfe Morlet et Tête-de-Pioche.

Le vent ébouriffant ses cheveux, la griffure des épis de blé, la douceur de la mousse jonchant le pied du vieux chêne, la caresse de l'eau sur son corps nu ou la suavité des pêches de vigne... La jeune Perle goûte aux joies du plein été. Auprès de sa grand-mère - une femme que les années n'ont pas atteinte - et d'Etienne, le vieux berger, la fillette passe ses vacances dans l'ombre de l'ancien moulin et y savoure l'enivrante saveur de la liberté. Mais, le temps d'une saison, la vie se fait et se défait, sous les yeux d'une enfant qui ignore encore que l'on peut aimer à tout âge... Or, pour gage du tendre attachement qui la liait à sa chère grand-mère, pour mémoire de ces inoubliables instants, la fillette ne conservera qu'un collier de perles. Le Collier de perles est un récit sensuel et mélancolique où Régine Deforges évoque le passage du temps, dévoile la puissance de l'amour et prononce un véritable éloge de la transmission.

Roman autobiographique où l'auteure fait le récit de ses vingt premières années et raconte sa découverte après le Japon de sa petite enfance, de différents pays : la Chine, les Etats-Unis, le Bangladesh, la Birmanie, la Belgique et le retour au Japon. Elle décrit le trouble né de ses arrachements successifs aussi bien que son expérience de l'anorexie et son appétit de lecture.

La famille de Bastien habite au bord de la rivière face à une île. Il vit dans cette île avec son frère Baptiste et sa soeur Paule, des instants heureux à l'écart du monde. Mais le départ au loin de Baptiste marque la fin de l'harmonie familiale, Paule suit l'homme qu'elle aime, ce qui mine leur mère Albine. Seul Bastien, toujours attaché aux lieux de son enfance, revient pour épauler son père.

Lucrèce, auparavant caissière, participe aujourd'hui à la création d'un nouveau quotidien national. Si elle a brillamment réussi sa vie professionnelle, sa vie privée est plus complexe. Elle est partagée entre sa relation avec Fabian, chirurgien renommé, et Nicolas rencontré peu de temps avant Fabian. Elle a d'ailleurs toujours caché à Nicolas qu'il est le père de sa fille, Roxane.

Le monde dans quelques dizaines d'années. Dans un Paris tropical où se sont réfugiés les anciens habitants de Louisiane, submergée par la montée des eaux due à l'effet de serre, une conférence organisée par les Nations Unies se prépare...

Suite à la demande d'une amie dont le mari vient de mourir, l'ex-inspecteur Harry Bosch accepte de remettre de l'ordre dans les papiers du disparu. Alerté par les révélations de l'ancien associé du défunt, Bosch sent qu'il faut aller voir de plus près et comprend vite qu'il y a eu meurtre. Encore faut-il retrouver l'assassin qui, chose curieuse, a laissé des traces trop évidentes de son passage.

Un prof de musique, Henri-John, père de deux grandes filles, est plaqué par sa femme, Edith, écrivain à succès. Pour lutter contre la solitude, le stress qui monte, il part pour les Etats-Unis. Il loge chez son beau-frère, Oli, dans une vaste maison à véranda au bord de l'océan. Ce séjour face au ciel et à la mer sera l'occasion d'un monumental bilan. Djian, pendant plus de trois cents pages, ne cesse de revenir sur son passé dans une France de Meudon inventée par Céline, avec moutards et tractions avant, grisaille et pauvreté, pavillons de banlieue et fins de mois difficiles. Heureusement, il y a l'Amérique, son bonheur matinal, ses breaks rutilants, ses grandes étendues liquides, ses maisons de bois aux couleurs lie-de-vin, ses joggers fluo, ses dunes ouvertes sur des paysages d'avant l'homme, ses forêts aux sourdes pulsions, ses freeways qui montent vers la nuit avec tant de douceur. L'Amérique de Djian est lisse, lavée, pimpante. Ce pays-là, sous la plume de Djian, a des couleurs de cerf-volant qui vibre en plein bleu du ciel. Et là, on retrouve le Djian foldingue d'écriture, de sensations : ce regard nettoyé, un peu cru, primitif, qui a fait sa réputation et qui l'a fait aimer, en France, par plus d'un million de lecteurs. Jacques-Pierre Amette..

Parfois une nuit suffit pour changer un homme. Celle que Sacha, jeune immigré russe déclassé, partage avec la très belle et très riche Lena le bouleverse au point de modifier le regard qu'il portait sur le monde. Au matin tout a changé, il ne reconnaît plus les rues de Paris et ceux qui, la veille encore, lui étaient proches, son frère, sa belle-sœur, son meilleur ami, ont désormais un visage accablant : celui de la misère..

Antonio est maçon, il mène une vie tranquille en compagnie de sa femme Anne-Marie et de leur fils Kevin. Un jour, il va chercher Kevin à l'école et rencontre l'institutrice, mademoiselle Chambon. Entre eux, peu de mots, mais ils sont de ces êtres qui se reconnaissent sans se parler. Quelque temps après, elle lui demande de venir remplacer une fenêtre chez elle... Magnifique roman d'amour, tragique et dérisoire réalité de la vie : il est toujours trop tôt, ou trop tard, et l'on passe à côté de l'essentiel. Le drame, c'est d'en être conscient..

Son visage est voilé. On ne voit que ses yeux, les plus beaux yeux qu'il ait jamais été donné de contempler. Personne ne sait rien d'elle et, depuis ce jour de Pâques de l'an 1143 où elle a rejoint les pèlerins qui font route vers Saint-Jacques de Compostelle, les langues vont bon train. On murmure qu'elle entreprend ce long et périlleux voyage pour sauver la vie et l'âme d'un innocent. On chuchote aussi qu'elle s'est défigurée pour ne plus avoir à souffrir des hommes... Le baron Hughes de Fresnoy est batailleur, débauché et bravache. Aussi pour conquérir la mystérieuse inconnue est-il prêt à tout, même à suivre les pèlerins en Galice... Un grand roman de Juliette Benzoni, truculent, bourré de rebondissements, au cœur d'un Moyen Age magnifiquement reconstitué..

Où finit la fiction et où commence l'Histoire ? C'est sur cette liberté propre à l'écrivain que joue superbement Gilbert Sinoué dans son nouveau roman La fille du Nil, qui est la suite de L'Egyptienne. Qui se souvient que l'Egypte fut pratiquement une province française jusqu'en 1882 ? Qui connaît la folie géniale des saint-simoniens, ces utopistes talentueux venus de France, porteurs d'un rêve fou : le percement de l'isthme de Suez ? Qui sait que le destin de ce canal s'est joué sur un plat de macaroni ? A travers la formidable saga de la famille Chédid, faite d'amour et de haine, Gilbert Sinoué dresse la fresque des quarante années qui virent l'Egypte s'arracher lentement à l'amour de la France pour basculer sous la domination anglaise, confirmant ainsi la prophétie de son vice-roi, Mohammed Ali : " Si la France et l'Egypte creusent un jour le lit du canal, souvenez-vous que c'est l'Angleterre qui s'y couchera. " Forte en passion, fertile en rebondissements, c'est à cette mémoire que nous invite l'extraordinaire destinée de La fille du Nil ..

Où finit la fiction et où commence l'Histoire ? C'est sur cette liberté propre à l'écrivain que joue superbement Gilbert Sinoué dans son nouveau roman La fille du Nil, qui est la suite de L'Egyptienne. Qui se souvient que l'Egypte fut pratiquement une province française jusqu'en 1882 ? Qui connaît la folie géniale des saint-simoniens, ces utopistes talentueux venus de France, porteurs d'un rêve fou : le percement de l'isthme de Suez ? Qui sait que le destin de ce canal s'est joué sur un plat de macaroni ? A travers la formidable saga de la famille Chédid, faite d'amour et de haine, Gilbert Sinoué dresse la fresque des quarante années qui virent l'Egypte s'arracher lentement à l'amour de la France pour basculer sous la domination anglaise, confirmant ainsi la prophétie de son vice-roi, Mohammed Ali : " Si la France et l'Egypte creusent un jour le lit du canal, souvenez-vous que c'est l'Angleterre qui s'y couchera. " Forte en passion, fertile en rebondissements, c'est à cette mémoire que nous invite l'extraordinaire destinée de La fille du Nil ..

Sur les collines de Margaux, le domaine de Fonteyne étale orgueilleusement ses vignobles. Ce fleuron du Bordelais a résisté à bien des orages et même à la disparition d'Aurélien qui en était le maître incontesté. Avant de mourir, il a désigné Juillet, le benjamin et de surcroît son fils adoptif, pour lui succéder. Juillet a toujours vécu à Fonteyne. La vigne, il la connaît et l'aime mieux que personne. Sous sa responsabilité, le domaine est entre de bonnes mains. Quand l'un de ses frères décide d'attaquer le testament d'Aurélien, un vent de folie et de drames s'abat sur Fonteyne. Assailli par la vindicte de son frère, menacé par les banquiers, tiraillé entre les femmes qui se battent pour gagner son cœur, Juillet est pris au milieu de la tourmente. Mais le domaine est en péril et il est le seul à pouvoir le sauver....